Whitney M. Turner
MESSAGES : 12«More About You » RELATIONS : Sujet: ♠ Whitney Madison Turner ─ « Hey god, can you feel the pain you give to me ? » Dim 27 Fév - 1:58 Whitney Madison Turner ► FEAT. JENNIFER CONNELLY
► IDENTITY CARD ► NOM : Turner. ► PRÉNOMS : Whitney Madison. ► DATE DE NAISSANCE : 7 Novembre 1983. ► LIEU DE NAISSANCE : Toronto, Canada. ► UFR CHOISIE : UFR 1 - Arts ► GROUPE : Direction. ► CÉLÉBRITÉ : Jennifer Connelly.
► CARACTERE Whitney est une personne plutôt effacée. Réservée, elle n'est pas timide pour autant, mais il est très rare qu'elle aille d'elle même vers les gens pour faire leur connaissance. Elle n'est pas non plus froide avec les inconnus ; elle sait se montrer sympathique au premier abord, bien que peu bavarde. De même, il est rare qu'elle parle de la personne, elle préfère de loin questionner les gens et en savoir davantage sur eux ; mais en retour elle ne dira que très peu de choses sur elle, sinon le plus important. Elle est une jeune femme brillante qui sait se servir de sa tête et qui est loin d'être naïve ; son histoire lui a servi de leçon et elle est donc quelqu'un de méfiante. C'est une personne créative, très souvent en train de griffonner un dessin ou une esquisse, et ce dès sa plus tendre enfance. D'une nature calme et posée, elle aime vivre dans la sérénité et évite toujours les conflits quand elle le peut ; cependant ne la cherchez pas, car elle a du répondant et elle sait remettre les gens à leur place, comme chaque enseignant se doit de le faire. Pour ce qui est de ses qualités, elle est gentille, serviable et généreuse. Elle sait aider les autres dans le besoin, et est à leur écoute quand c'est nécessaire. N'appréciant guère faire la morale, elle aime résonner les gens et leur faire voir les choses telles qu'elles sont. Bien que peu sociale, il suffit qu'on lui parle d'un sujet qu'elle aime pour qu'elle se dévoile passionnée et loquace ; elle est cultivée et aime partager son savoir et ses connaissances. Mais bon, comme chaque individu, Whintey a elle aussi ses défauts. Son plus grand est sûrement d'être une personne rancunière. Elle déteste qu'on lui fasse du mal ou qu'on s'en prenne a des personnes qu'elle apprécie. Cependant, elle n'est pas du genre à être extrêmement méchante ; ses vengeances sont douces mais piquantes. Parler d'un sujet épineux, appuyer sur un point qui fait mal, voilà ce qu'elle fait pour faire souffrir autrui. Aussi, elle est une personne parfois un peu tête en l'air et rêveuse, ce qui fait qu'elle ne suit pas toujours ce qui est autour d'elle.► PHYSIQUE Whitney est une jeune femme qui n'aime guère se faire remarquer. Elle préfère de loin aborder un accoutrement classique à un costume extravagant et provocateur. Pour elle, rien de vaut l'élégance de la sobriété. Son corps, finement sculpté, n'est ni frêle ni imposant ; il est dépourvu des kilos superflus, et possède des formes féminines à souhait. Son long visage, de forme doucement rectangulaire est encadré d'une longue chevelure brune, assorti d'yeux d'un vert envoûtant, entourés eux même d'une bonne dose de maquillage. On remarque qu'elle préfère garder ses sourcils d'une certaine épaisseur, au lieu de les avoir d'une minceur exagérée. Son nez droit, relativement long, et ses lèvres fines et bien dessinées ne prêtent à son harmonieux visage pas une seule once de grossièreté. Il est rare qu'elle daigne esquisser un sourire, en revanche, ses yeux disent davantage de pensées que sa bouche ne laissent en échapper. Comme dit précédemment, elle n'aime guère se faire remarquer. Ainsi donc, elle préfère se vêtir d'habits élégants mais simples. N'en déduisez pas attentivement qu'elle néglige son apparence ; elle la soigne méticuleusement. Les couleurs pastels et sombres demeurent ses favorites, telles que le noir, le bleu marine, le bordeaux et le blanc.► HISTOIRE « Je suis née dans la ville de Toronto, le sept novembre 1983. Il fallait croire que tout me poussait à avoir une vie de rêve, tout. Mes parents étaient tout deux issus de familles aisées, avaient fait de brillantes études qui les avaient menées aux carrières les plus prestigieuses que l'on peut avoir. J'étais aimée de mes deux parents, et je n'ai, au court de mon enfance, jamais remis en cause l'affection et l'amour qu'ils me portaient. De même, j'avais une grande sœur qui veillait sur moi comme une seconde mère, et un petit frère adorable qui me montrait toute son affection. Nous vivions dans un spacieux appartement d'un riche quartier, et j'étais scolarisée dans l'une des écoles les plus chères de la ville, prête à suivre les pays de mon aînée qui s'était montrée aussi intelligente que mes parents l'étaient. J'avais de nombreux amis qui m'acceptaient et m'appréciaient avec mes qualités et mes défauts. Apparemment, tout me destinait à une vie de réussite, n'est ce pas ? Ainsi, toute mon enfance se déroula merveilleusement bien. Rien ne semblait faire tâche sur mon histoire, et je n'eus put rêver mieux. Mes résultats scolaires étaient très satisfaisants, ce qui rendaient mes parents ravis. J'étais une enfant modèle ; adorable, gentille, serviable et intelligente. Mes professeurs faisaient de nombreuses éloges sur mes capacités intellectuelles et sur ma conduite exemplaire envers les autres enfants. Vous le comprendrez aisément ; ces années furent les plus belles de mon existence. Mais n'aurait il pas été lassant que ma vie se poursuive ainsi ? Je suis sûre et certaine que vous tous, autant que vous êtes, vous avez envie que quelque chose vienne perturber ce splendide destin, non ? Soit, vous n'allez pas être déçus. Au fil des années, je grandissais et étais toujours aussi brillante dans le milieu scolaire. A l'adolescence, je commençais à manifester un certain intérêt pour le dessin et la mode. Mes proches m'encourageaient tous fortement à m'orienter dans le domaine de la mode, ce que j'envisageais de plus en plus. Ça, c'est le côté professionnel de ma vie. Qu'en est il de ma vie sociale ? Bien entendu, qui dit adolescence dit soirées entre amis. Ma famille, très protectrice, mit du temps à accepter que je commence à sortir le soir. Bien que je ne le montrais guère, j'étais de plus en plus impatiente de goûter aux joies des soirées à l'extérieur. Je pris mon mal en patience, et attendais que mes parents me fassent suffisamment confiance. C'est ainsi qu'un jour ils me donnèrent leur autorisation pour que je sorte une fois par mois. J'étais alors âgée de 16 ans. Les premières soirées auxquelles je participais ne me plongèrent pas immédiatement dans la décadence. Je me contentais de danser et de faire de nouvelles rencontres, laissant mes amis boire et fumer à loisir. Mais un soir, quelqu'un me proposa de me payer un verre. Songeant qu'il fallait bien goûter à l'alcool un jour ou l'autre, j'acceptais avec plaisir. Très rapidement, je pris goût à la boisson et il se fit de plus en plus rare que je ne termine pas les soirées complètement malade. Une autre fois, on me proposa de fumer une cigarette. Je connaissais les ravages du tabac, mais songeais qu'il suffisait que je ne devienne pas dépendante pour les éviter. Je fumai donc une, puis deux, puis cinq, puis dix, puis paquet par paquet au fur et à mesure. Je ne voyais aucun mal dans mes agissements, et aujourd'hui encore je n'y vois aucun vice. Mais n'aurait il pas été stupide de s'arrêter ici ? Je voyais que de plus en plus mes amis se laissaient aller à la drogue. Raisonnée, j'étais au début déterminée à ne pas essayer. Mais comment ne pas succomber à la tentation quand l'on est entourée de personnes qui se droguent ?Je m'y adonnai donc, petit à petit. Pour me donner bonne conscience, je songeais qu'il fallait tester de tout pour ne rien ignorer. Je ne vous cache pas que j'y prenais de plus en plus goût, et au fil du temps, tout cela devint un automatisme. Tout eut une incidence bien sûr ; mes résultats chutaient de plus en plus. Je m'attirais les foudres de tout mes proches et de mes professeurs, qui me renvoyaient de plus en plus des cours, vu les états douteux dans lesquels j'arrivais de temps à autres. A force, je fus renvoyée de mon établissement. Mes parents étaient furieux et semblaient commencer à en avoir marre de moi. Ils me qualifièrent d'indigne et me jetèrent à la rue avec une somme d'argent suffisante pour que je me trouve un appartement. J'avais alors dix huit ans. Je me débrouillais d'abord pour me faire loger par des amis, avant de trouver un studio miteux dans un quartier à la réputation douteuse. Toujours dépendante, je continuais à me droguer quotidiennement, rationnant mes autres dépenses. Je n'avais pas d'emploi, mes parents refusaient de me donner le moindre dollar et mon compte en banque se vidait à vue d'œil. J'étais contrainte de trouver une solution et rapidement. La prostitution était la seule manière que j'avais de gagner de l'oseille. Est il nécessaire que je m'attarde sur cette époque noire de ma vie, que je vous dise que j'ai été souillée par des inconnus assoiffés de baise, que j'ai été humiliée ? Les jours, les semaines et les mois passèrent. Ma vie qui était destinée à être un chef d'œuvre n'était qu'une peinture inachevée. Je croyais être forcée à finir mon existence de la sorte ; droguée et prostituée. Mais au fil du temps, je me déterminais à sortir de cette vie minable qu'était maintenant ma mienne. Je mis fin à ma carrière de dame à petite vertu. J'utilisais la plupart des quelques économies que j'avais de côté pour prendre des cours par correspondance et pour reprendre un rythme de vie plus sain. A force d'énormes efforts, je parvins à arrêter la drogue. Doucement, je voyais de nouveau la lumière, prête à abandonner ce douloureux passé. A 25 ans, je décrochai enfin un diplôme dans le domaine du stylisme, qui était toujours mon domaine de prédilection. Je n'étais certes pas assez douée pour devenir designer de mode, mais j'avais des capacités suffisantes pour travailler dans le professorat dans une école prestigieuse. Je quittai alors le Canada, bien décidée à commencer une nouvelle vie. Je trouvais alors un emploi à New York, dans la prestigieuse université de Yale. »► BEHIND THE COMPUTER ► SURNOM : Myu. ► ÂGE : 17 ans. ► PRÉSENCE SUR LE FORUM : 4-5 jours par semaine, normalement. ► COMMENT TROUVES-TU LE FORUM : L'aspect graphique est plutôt beau ; même si je trouve que la bannière est un peu vide. Sinon il m'a l'air sympathique. ► OÙ AS-TU CONNU LE FORUM : Via une publicité posté sur un forum de pub. ► CODE DU RÈGLEMENT : Spoiler: OK' by Caleb
► EXEMPLE DE RP : Spoiler: Assis sur le rebord d’une fenêtre, un filet de fumée s’échappant de mes lèvres entrouvertes, j’attendais. Non ; silencieusement, je trépignais d’impatience. Ma bouche esquissait un léger sourire, portant une cigarette tout juste consumée, tandis que mes yeux sondaient tantôt l’horizon, tantôt la foule qui passait au pied de l’imposant immeuble où je logeais. Sans bouger de mon perchoir, je jetais un dernier coup d’œil à l’intérieur afin de m’assurer une fois de plus que tout était en ordre et présentable. Satisfait par cette rapide inspection, je reportais mon attention sur les gens d’en bas. Un bon nombre d’individus fréquentaient encore la rue, mais aucun de s’arrêtait devant l’immeuble pour y entrer. De toute façon, elle n’était pas en retard. Mais comme d’habitude je frétillais, incapable d’attendre, impatient que je suis. C’était d’ailleurs assez incroyable à dire ; il y a quelques mois de cela, je n’aurais jamais cru pu être pressé de voir une personne comme Autumn. En même temps, quand on voit la réputation que j’ai eut en l’espace de quelques semaine à la fac, il aurait été impensable de que je sois ami avec une fille qui parait aussi ‘clean’. Il suffit de la regarder pour qu’on pense qu’elle soit une fille à papa, avec ses cheveux toujours parfaitement brossés et ses fringues sans le moindre faux pli. Et puis même sans parler de sa dégaine, c’est une vraie petite fille modèle. Oui en d’autres termes, une personne avec qui je suis diamétralement opposé. Mais pourtant, d’une manière plutôt inopinée, on s’est mit à se fréquenter en dehors du lycée. Et c’est alors que j’ai réalisé qu’elle n’était pas ce qu’elle voulait laisser paraître. Car oui, elle veut se faire passer pour quelqu’un d’irréprochable, mais en dehors de l’université elle est tout autant que moi, prête à se lâcher et à faire des c*nneries. Ce qui bien entendu, ne me déplaît pas du tout. Bref, elle m’avait demandé il y a quelques jours de cela si nous pouvions passer la soirée ensemble, ce que je ne pus refuser. Elle semblait vouloir me parler d’un sujet qui l’affligeait à propos d’un jeune homme, mais ne m’en avait dit davantage. Je lui proposais donc ce passer ce soir chez moi afin de pouvoir discuter. D’ou l’origine de mon impatience. J’avais déjà hâte de voir une personne que j’appréciais, mais je voulais en savoir plus sur ce qu’elle avait à me dire. Ecrasant le tabac incandescent sur le mur de l’extérieur, je mirais le ciel qui se peignait doucement de teintes de plus en plus sombres. Mais je fus arraché à ma contemplation par le bruit strident de l’Interphone. Je sursautai, avant d’aller d’un pas pressé et sautillant vers l’entrée pour décrocher le combiné qui se trouvait prêt d’un petit écran.« Oui ? » dis je d’une voix allègre, regardant l’écran qui affichait une image grésillante de noir et blanc. Je reconnus la voix et le visage d’Autumn, et appuyai sur un bouton pour ouvrir la porte du rez-de-chaussée à la demoiselle. « Quatrième étage, première porte à droite ! » Vite fait, je retournai dans la cuisine, attrapant une bouteille de champagne et deux flûtes, pour les déposer sur la table basse du séjour. Je n’eus pas le temps de faire quoi que ce soit d’autre que j’entendis quelqu’un frapper à la porte. D’un pas précipité, j’allai vers un miroir, me passa une main rapide dans les cheveux pour être parfaitement coiffé, avant de revenir vers la porte pour ouvrir avec un grand sourire à mon invitée.« Bonsoir ! » dis je ravi, avant de déposer un baiser sur une de ses joues. Je la priais alors d’entrer et de se mettre à l’aise, pendant que je fermai la porte.
Dernière édition par Whitney M. Turner le Dim 27 Fév - 23:20, édité 4 fois
Caleb Ronan Admin
MESSAGES : 54«More About You » RELATIONS : Sujet: Re: ♠ Whitney Madison Turner ─ « Hey god, can you feel the pain you give to me ? » Lun 28 Fév - 0:00 Et bah! Ta vie est loin d'être rose! Par contre ici, comme stipulé dans le règlement, les actions doivent être à la troisième personne. Tu devras y faire attention lors de tes RP. Mis à part ça, ta fiche est validée, bienvenue à Yale.
Dernière édition par Caleb Ronan le Lun 28 Fév - 19:32, édité 1 fois